Continuons la dissertation sur les Roadster !
En faisant quelques recherches sur la toile, la définition de Roadster tient à peu près à ça : Décapotable sportive biplace, sans vitres latérales ou au moins sans armatures fixes, propulsion à moteur avant et proposée à un prix abordable. Il doit s’agir d’une automobile plutôt légère, simple de conception, dotée d’un petit ensemble moteur boite plaçant le plaisir de conduite « dynamique » avant le confort et les aspects pratiques.
On peut d’ailleurs le comparer aux motos puisque l’appellation existe aussi dans le monde du 2 roues. Dans ce cas, il s’agit de motos légères, dépourvues de carénages – éventuellement juste une bulle « saute-vent » et avec de bons moteurs ludiques. Le plaisir au guidon tient plus dans la maniabilité sur petite route que dans la V-Max.
Pour revenir au monde automobile, le terme Roadster est devenu commun de nos jours, englobant grosso modo tous les cabriolets 2 places présents sur le marché. La plupart sont cossus, très bien équipés et souvent dotés de « grosses » mécaniques les éloignant franchement de l’esprit originel. Bref, aujourd’hui, le terme Roadster est une appellation marketing plutôt généraliste.
Personnellement, au-delà de l’appellation commerciale, je
considère être un vrai Roadster : un cabriolet deux places d'un gabarit contenu, simpliste dans ses
finitions (sans doublure de capote par exemple), avec le minimum d’artifices de
confort et/ou d’aide à la conduite. Une auto sans un gros moteur plein de cm3
mais ayant du peps grâce à une boite bien étagée et un bon rapport
poids/puisssance, avec un châssis réglé sport pour s’amuser, pas forcément à
haute vitesse, mais surtout dès l’apparition de quelques virages. Idéalement en propulsion, mais principalement une auto qui distille du plaisir à chaque utilisation !
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